Garde mon souvenir lorsqu’en des jours lointains
Tu verras l’avenir dans l’oubli de tes mains,
Tu verras les demains dans le marbre porphyre
De ce tombeau serein désormais mon empire.
Lorsqu’en des jours lointains, gardant mon souvenir,
Voyant le feu éteint de mon las devenir,
Un large sourire sur tes lèvres carmin
Seul devra m’écrire les mots de ton chagrin.
Peut-être que demain on ouïra retentir
Le sanglot du tocsin annonçant mon périr
Mais rien ne doit franchir le seuil de tes yeux bruns,
Ni larme, ni soupir de tes lèvres nadirs
Car je mourrai très loin dans le royaume éteint
Durant des jours lointains parmi tes souvenirs.
Thursday, 10 September 2009
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