« Ton
ici est mon ailleurs, »
dit
le voyageur,
à
celle dont le cœur,
épris,
pleure.
Et
sur l'heure,
elle
sourit.
« Je
suis ici et ailleurs, »
dit-elle
sans pudeur,
à
celui qui vit,
sans
heurts,
là
où l'on meurt,
puis
revit.
« Voyageur,
je
te suis ici. »
J'aime beaucoup, c'est doux.
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