Les prés dévastés
gorgés de batailles
bleuissent au soleil.
La marée des nuages monte
cumulus de pétrole
obscurcissent le gravier laiteux.
Le berger n'a plus qu'à faire demi-tour,
lui qui n'a jamais su s'habituer
il écoute son propre cœur
comme pour la première et ultime fois
et s'en vient, triste,
fendant les cieux de sa houle.
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