27 décembre, fin de soirée.
Comme elle se débattait je lui ai asséné plusieurs coups de poing dans les côtes et un au visage. Je me suis surpris à l'étrangler comme je l'ai fait pour Cécile. Mais elle ne semblait y prendre aucun plaisir, et moi non plus d'ailleurs. Je me suis débarrassé du corps près du périphérique ouest qui n'était pas très loin. Ça m'a fait marcher un peu, mais c'est bon pour le cœur paraît-il. J'ai mis près de deux heures à revenir par le métro. Cette ville a vraiment un problème dans la gestion de ses transports en commun. En revanche, être obligé de côtoyer la plèbe les mains souillées, même si celle-ci ne s'en est, une fois n'est pas coutume, pas rendue compte, me fait frissonner de plaisir. Bref.
Thursday, 22 January 2009
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Corps memory
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