Saturday, 14 January 2012
Friday, 13 January 2012
Triskaïdékaphobie
Mot barbare pour désigner la peur du nombre 13.
Judas était le 13ème à s'asseoir à table avec Jésus. Fallait pas être en retard.
Loki, le grand méchant qui n'attend que le Ragnarok (il y a bien un accent ou deux, mais je ne me souviens plus où) pour se débarrasser de ce bon dieu de serpent et des entrailles qui l'entravent, est le 13ème dieu de la mythologie nordique.
Du coup, pas de treizième étage dans les hôtels (en Chine et au Japon, pas de 4ème étage, chacun sa phobie (NB, le chiffre 4 'shi' est un homophone de la mort 'shi')).
Paraît-il qu'il n'y a pas de siège numéro 13 dans les avions. À vérifier auprès d'une charmante hôtesse (qui peut également laisser ses coordonnées téléphoniques ou géographiques).
Et je suis certain que le chiffre, maudit dans notre culture, alors que dans d'autres il ne ferait même pas transpirer un lama, ne se retrouve pas dans de nombreux exemples (si d'ailleurs vous avez des exemples de non-utilisation du chiffre 13, je suis preneur). Il y a même des calendriers de 13 mois (dits calendriers 'lunaires', notamment celui des hébreux et des chaldéens et le premier calendrier grec ; et si quelqu'un pouvait me confirmer que le calendrier musulman, que je sais être lunaire, comporte bien 13 mois, merci.) et ils ne se mettent pas à flipper pendant tout un mois.
Aujourd'hui étant un vendredi 13 (par ailleurs, la peur du vendredi 13 se nomme la paraskevidékatriaphobie), je vous souhaite à toutes et à tous de ne pas être superstitieux, ça porte malheur (bon mot attribué à Jean-Paul Sartre ou à Coluche, c'est selon). Le pire, dans tout ça, c'est que vu que 2012 est une année bissextile, on va s'en taper pas moins de 3, des vendredi 13. Soit on a trop de chance, soit on y passe tous. Je me déciderai le jour J.
Allez, c'est pas tout ça, mais j'ai un film culte à regarder et je dois aussi aller tenter ma veine au Loto. Il paraît que ça porte chance. Si je perds, ce qui risque d'être le cas (même si j'augmente mes chances de gagner d'année en année), je dirais que c'était à cause du vendredi 13, voilà tout.
Thursday, 12 January 2012
Quotable
"Most people think that shadows follow, precede, or surround beings or objects. The truth is that they also surround words, ideas, desires, deeds, impulses and memories."
Elie Wiesel, writer, Nobel laureate (b. 1928)
Wednesday, 11 January 2012
Nombre de suicides au Japon
Une statistique effrayante... je sais que je n'ai que les chiffres (officiels ? officieux ?), sans autre explication. Je vais creuser la question.
Tuesday, 10 January 2012
Monday, 9 January 2012
My motto when I was free-running...
Freerunner on the loose,
All
black and blue and bruise.
Roam
wild in the city.
Mad
perhaps, mad but free.
Sunday, 8 January 2012
Noctambulatoire Tourangeau
Cathédrale St Gatien vue de la Psalette
Pont St Symphorien, alias le Pont de fil
Vue du pont Wilson et de la bibliothèque du pont de fil (expo 30').
Vue de l'autre côté du pont de fil (expo 30').
Gauche du pont de fil : Lune, tête de sculpture et cime d'arbre (expo 30').
Pont Wilson vue des quais (expo 30').
Cathédrale St Gatien, prise du parvis.
Saturday, 7 January 2012
Friday, 6 January 2012
WOODKID - WASTELAND
While I'm at it, here's another song by this Frenchman who's got a tiny tinge of Irish accent. Pay attention to the lyrics (see below). It seems that Yoann Lemoine, aka Woodkid, started out as a music video and film director. Then he moved on to music itself. A jack-of-all-trade and master of quite a few. Here's the link to his website.
Most of my sweet memories were buried in the sand
The fire and the pain will now be coming to an end
How did you get to save me from this desolate wasteland?
In your eyes I see the dawn of brighter days again.
With my tears you washed away the mud stuck on my hands
All the things you're trying to do make me a better man
Now I remember the joy and the taste of candy cane
The innocence of youth and the sound of major scales.
Most of what I used to be had vanished in the waves
The memories of the boy I've been were drowning and you saved them
Now I remember the joy and the meaning of the fate
The color of the truth and the sound of sunny days.
Most of my sweet memories were buried in the sand
The fire and the pain will now be coming to an end
How did you get to save me from this desolate wasteland?
In your eyes I see the dawn of brighter days again.
Subscribe to:
Posts (Atom)
This is no longer home
On the train back to the old place unsure if any memory is left there Surely there must be an old cigarette burn hissing embers fusing ...
-
There's a thread on Facebook and all over the Internet that goes: "Shakespeare said: I always feel happy. You know why? Because I...
-
Mon weekend parisien, mis à part l'exposition "L'or des Incas" à la Pinacothèque , une petite expo sur Théodore Monod au...
-
J'ai eu un peu de mal à le prendre, celui-ci...avec un peu de patience, et surtout sans trembler (les deux pieds bien vissés au sol, he...